https://www.franceinter.fr/emissions/l ... -juin-2019Une étude montre, pour la première fois, que des poissons peuvent aussi avoir des chagrins d’amour… Des biologistes du comportement de l’Université de Bourgogne sont parvenus à quantifier l’impact émotionnel de la séparation chez les poissons.
Bon : présenté comme dans cette chronique de Mathieu Vidard, les conclusions paraissent un peu hâtives :
Dommage que les sources ne soient pas citées, j'espère que c'est plus étoffé que ça.Les chercheurs ont observé que les femelles optimistes qui allaient rapidement ouvrir la boite ambiguë, mettaient beaucoup plus de temps à le faire en l’absence de leur partenaire. Ce changement de réaction face à l’ambiguïté est le signe d’un plus grand pessimisme.
C’est la première fois que l’attachement émotionnel face à la perte du partenaire a été testé sur un animal non humain.
Je vous rassure les couples étaient reformés après l’expérience.
Selon les scientifiques dijonnais, ces résultats pourraient montrer que l’attachement émotionnel au partenaire présente un intérêt évolutif en favorisant la stabilité du couple, les soins parentaux et, in fine, un meilleur système reproducteur.
Parce qu'interpréter la prudence du poisson isolé de son partenaire comme une marque d' "attachement émotionnel" me paraît ... discutable.