Parthénocarpiques
Moi je connaissait ce phénomène chez les plantes dites : PARTHÉNOCARPIQUES
Avantage : facile à multiplier
Inconvénient : Tous le monde a les même gènes du coup si il y en a un qui chope un truc ça se répand super vite.
A l'image des platanes qui meurent tous de la même maladie et se contaminent très rapidement , la cause : ils proviennent tous par bouturages (=clonage=même matos génétique) du même pied mère (indien je crois) sensible à cette maladie .
Avantage : facile à multiplier
Inconvénient : Tous le monde a les même gènes du coup si il y en a un qui chope un truc ça se répand super vite.
A l'image des platanes qui meurent tous de la même maladie et se contaminent très rapidement , la cause : ils proviennent tous par bouturages (=clonage=même matos génétique) du même pied mère (indien je crois) sensible à cette maladie .
Petite nuance pour le végètal: la parthénocarpie est la formation des fruits sans fécondation, il y a le fruit, mais pas de graines dedans (ex: certaines variété de kaki, d'agrumes, de concombre et de cornichons..ça peut arriver occasionnellement dans beaucoup d'espèces.DOO a écrit :Moi je connaissait ce phénomène chez les plantes dites : PARTHÉNOCARPIQUES.
Avec la parthénocarpie il n'y a pas de repoduction.
Le platane n'est pas indien, il est considéré comme hybride entre une espèces américaine (P. occidentalis) et le P. orientalis qui est sauvage en Grèce. mais des botanistes pensent qu'il ne s'agit que d'une variation de l'espèce européenne.DOO a écrit :Avantage : facile à multiplier
Inconvénient : Tous le monde a les même gènes du coup si il y en a un qui chope un truc ça se répand super vite.
A l'image des platanes qui meurent tous de la même maladie et se contaminent très rapidement , la cause : ils proviennent tous par bouturages (=clonage=même matos génétique) du même pied mère (indien je crois) sensible à cette maladie .
Sur les problèmes sanitaire induit par la culture des clones, oui souvent des problèmes de "dégénérescence'' (maintenant on parle plutôt de virus). Mais pas toujours, il y a des plantes qui sont propagé de manière végètative depuis des siècles sans souci (le topinambour par exemple), et la nature contient quelques plantes qui sont quasi parfaite, puique la multiplication végètative est exceptionnel (ex: la fougère grand aigle).
- pepejul
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c'est exact, d'autant plus que la variabilité génétique peut nexister dans des lgnées cellulaires clonales au sein d'un même organisme...
Chez un arbre très vieux, les cellules de l'extrémité des branches peuvent avoir un patrimoine génétique différent de celles de la base du tronc... la division cellulaire pouvant conserver des mutations somatiques, ces mutations s'accumulent dans les cellules les plus tardives...
On a ainsi un brassage (réduit mais réel) chromosomique permettant une certaine évolution malgré l'absence de reproduction sexuée...
Incroyable non ?
Tu m'as l'air d'être passionné par les plantes, toi, c'est super !
Petit quizz HS : connais-tu l'être vivant le plus gros du monde ?
Chez un arbre très vieux, les cellules de l'extrémité des branches peuvent avoir un patrimoine génétique différent de celles de la base du tronc... la division cellulaire pouvant conserver des mutations somatiques, ces mutations s'accumulent dans les cellules les plus tardives...
On a ainsi un brassage (réduit mais réel) chromosomique permettant une certaine évolution malgré l'absence de reproduction sexuée...
Incroyable non ?
Tu m'as l'air d'être passionné par les plantes, toi, c'est super !
Petit quizz HS : connais-tu l'être vivant le plus gros du monde ?
Avatar que jamais...
En horticulture en sait ça depuis longtemps, nombre de formes ornementales (aussi mais moins souvent utilitaire) ne sont que des mutations somatiques gardé par clonage. Alors qu'on ai découvert récemment que sur un même vieil arbres que les branches ont mutés, ce n'est pas surprenant.pepejul a écrit : c'est exact, d'autant plus que la variabilité génétique peut nexister dans des lgnées cellulaires clonales au sein d'un même organisme...
Chez un arbre très vieux, les cellules de l'extrémité des branches peuvent avoir un patrimoine génétique différent de celles de la base du tronc... la division cellulaire pouvant conserver des mutations somatiques, ces mutations s'accumulent dans les cellules les plus tardives...
On a ainsi un brassage (réduit mais réel) chromosomique permettant une certaine évolution malgré l'absence de reproduction sexuée...
Incroyable non ?...?
à vrai dire complétement, irrémédiablement et définitevement virosé par la chlorophyllepepejul a écrit :Tu m'as l'air d'être passionné par les plantes, toi, c'est super ?..
et c'est mon métier.
Si ma mémoire est bonne et mes connaissances bien "updatés".pepejul a écrit :Petit quizz HS : connais-tu l'être vivant le plus gros du monde ?
Le plus vieux est un arbuste tasmanien qui a atteint un âge vénérable (40 000 ans) en se pertétuant par marcottage (ou stolonage ?) naturel. Mais je ne suis pas sûr que ce soit le plus gros.
Sinon ça pourrait bien être un champigon (par son mycélium)