Poubellarium interNational Connection

Oui il parait que les Agassizii sont pires encore...
J'ai dû troubler l'harmonie du bac:
j'ai fini par mettre des cloisons pour éviter à la femelle dominée de trop ramasser:

Le male et 1 femelle à gauche.
au milieu une femelle et les nanostromus
et enfin une femelle et les quelques petits rescapés

Malheureusement, il est souvent conseillé de maintenir un mâle pour 2 voir 3 femelles, de par mon expérience, 1 femelle va bien, l'autre ou les autres subissent le couple...

Oui oui, les apisto sont souvent vendus en animalerie en trio...une belle con...rie

Je conseille toujours en couple, je sais pas pourquoi j'ai essayé
enfin si le bac est grand quand même...mais bon

Sinon les futurs Apisto made in Lapsus:
Petits, mais manque pas de caractère!!!

Faut que j'édite le titre maintenant:
Nouveau bac de 100L pour les Baenschi:




Nouvelle génération:

Qu'as tu fais du 200L du salon?

Sinon, merci Domi, la base de données me dit qu'il y a quelques poissons accessibles depuis Cusco : 1 espece de characidé et une de corydora. Mais bon, rien de spectaculaire...

Tu vas à Iquitos, grande métropole sans trop de brigands je pense, et t'essayes de dénicher un grossiste, et tu ramènes pleins de fruits et de poissons succulents!

Je crois que je vais faire comme ça.
Finalement je connais très peu le pays!
Y a Pucallpa aussi oú on peut trouver des apistos.
Par contre je sais pas comment faire pour les ramener en bonne santé a Cusco (minimum 12h et deux avions à prendre): je les garde dans un sac plastique dans la valise ? lapsus, tu connais la méthode pour ce faire?
Quid de la température pendant le transport ? et de l'altitude ?

Au fait combattantdufantasme, j'ai aussi regardé pour les killis, il y en a pres de Cusco! Par contre la maintenance est classée difficile et je n'ai aucune expérience avec ces poissons... Il s'agit de Rivulus parlettei.
http://www.senckenberg.de/files/content ... er_313.pdf

Pour le transport, mon p'tit lama, c'est normalement pas trop compliqué.
Je parle pas des histoires de douane, et tout ça, hein…
Mais techniquement, j'ai testé ça, depuis la Guadeloupe, avec des platys locaux :
- bouteilles en plastique (sac plastique j'aurais beaucoup moins confiance… ) remplies d'eau à 1/3 environ pour laisser beaucoup d'air et d'oxygène pour le voyage.
- 2 ou 3 poissons par bouteille mais pas plus, voire même 1 poisson si c'est des gros.
- tout ça bien fermé, bien enrobé dans des sacs plastiques.

Bon, d'accord, la Guadeloupe, c'est pas 12 heures de vol…

Pour les histoires d'altitude et de pression, il n'y a pas eu de problème.
Et le coup de la température me fait toujours rire = avez-vous déjà récupéré vos trousses de toilette avec le dentifrice et les shampoings congelés ?
Je ne pense pas que ça descende tant que ça en soute à bagages.

Pour les killis ça peut intéresser Jean-louis, qui nous avait fait visiter sa fishroom, tu te souviens ? Me concernant, je galère déjà avec les vivipares, alors les killis ...

C'est justement pour lui que je disais ca Toi je sais bien qu'il ne faut pas te confier de poissons!

Finc, merci pour les conseils. Tu crois que c'est valable pour des apistos? Mais bon je pense qu'ils doivent bien pouvoir survivre quelques heures a 15' ... Ils arriveront un peu secoués, mais ils ne s'en sentiront que mieux dans leur bac!

Franchement je saurais pas t'affirmer que ça marchera avec des apistos.

Un dernier détail constaté aussi = les jeunes individus voyagent bien mieux que les adultes…

Juste une question : les corydoras, ce sont lesquels ?

J'ajouterais aux conseil de Finc' :
ne pas les nourrir quelques jours avant le trajet, changer l'eau juste avant l'avion, prendre de l'eau au point de pêche pour faire un changement d'eau + pour faire une analyse au moment de l'acclimatation.

Un killiphile qui fait beaucoup d'expéditions en Afrique utilise des flacons d'analyse pour conditionner les poissons. Et y'avait une histoire de mettre un seul poisson par flacon pour éviter que la mort de l'un ne tue l'autre.

J'ai pas bien compris ce que Lama voulait faire, mais les poissons sauvages sont toujours beaucoup plus difficiles à maintenir que ceux d'élevage.