Il y a un petit éclairage par LEDs, pour donner un coup de pouce aux plantes. (Le jour rentre par la fenêtre, mais ça reste limité en hiver.) Le substrat est du sable fin de rivière et rien d'autre : là encore, choix dicté par les futurs hôtes, rien qui puisse les blesser,ou créer une occlusion si avalé. Et ils en avaleront: leur mode d'alimentation consiste à ouvrir grand la bouche et aspirer ce qui est à leur portée.
Les décorations sont aussi limitées par les besoins de ces bestioles (pas de racines naturelles, le bois fait baisser le pH et ce n'est pas du tout bon pour eux), mais avec quelques pierres (trop grosses pour être avalées) et deux ou trois trucs rigolos que j'assume totalement, ça fait un paysage où évoluer pour nos petits amphibiens. Manque encore des cachettes au sol, mais ça ne va pas tarder.
Question plantes, j'ai de la Salvinia molesta et de la Riccia (merci Stalker !
), de la mousse de Java, des brins d'élodée, une boule de Cladophora, un pied d'Anubia barteri, de la Cabomba caroliniana et Vallisneria americana. Comme micro-faune, j'ai déjà vu arriver quelques physes et une aselle en passagères clandestines. Mais je ne compte pas garder de petits escargots aquatiques dans ce bac, axolotls obligent encore une fois: il faut que ce soit trop gros à avaler. Si je trouve un gros Pomacea, alors, peut-être. Mais les Physes de plus de 5 mm ira rejoindre un bac satellite que j'ai lancé en parallèle, afin d'y élever des endlers (et je remercie [AM] au passage !). C'est aussi la destination des planorbes de piloupilou, dès leur arrivée.
