Poubellarium interNational Connection

L'année dernière dans la classe de miniLui, ils ont élevé des vers à soie.

Dans le coin ça se fait beaucoup. Moi aussi à l'école à Ganges j'ai élevé des vers à soie. Ce qui était pratique c'est que j'avais un murier dans le jardin.

Moulick a écrit :Ce qui était pratique c'est que j'avais un murier dans le jardin.

Mi tou, c'est nous qu'on a fourni l'essentiel des repas !

A l'école de mon fils ils ont recommencé leur élevage annuel prolifique, sans contraintes de maintenance et que les enfants peuvent partager avec toute la famille le soir à la maison :
LES POUX

Il existe 3 sortes de poux affectant les humains :

le pou du pubis - l'espèce Pthirus pubis
le pou de tête - la sous-espèce Pediculus humanus capitis
le pou de corps - la sous-espèce Pediculus humanus humanus

Le premier étant en voie d'extinction apparemment ; en Europe en tout cas. La faute / grâce à la coupe ticket de métro.

Pas forcément à cause de la tonte, car si tu tapes son nom latin sur gogol, tu constateras, outre le fait que la bestiole ressemble fortement à Goldorak, qu'on la trouve à des endroits qu'on n'imaginerait pas !
Oh la vache, ça me gratte d'un coup, je sais pas pourquoi…

Une 'tite histoire de l'Oncle Paul ?
Je suis partie un mois à Madrid quand j'avais 18 ans, et pour ce faire, j'avais pris le train de nuit. En rentrant chez mes parents, j'avais un œil qui me démangeait furieusement ; ma mère m'emmène donc chez l'ophtalmo de la famille. Il braque la lumière, met ses lunettes, et délicatement, avec une pince, extrait un morpion de mes cils. Jamais eu autant honte de ma vie surtout que, croix de bois crois de fer, celui-là, je n'avais pu l'attraper que sur la couchette du train !
Une autre histoire de morpions ?
Ma meilleure copine, quand je faisais mes études à Périgueux, en avait chopé avec son jules du moment, un genre de para édenté et imbibé (mais ça on s'en fout !). Elle avait tellement la honte qu'elle n'osait pas aller à la pharmacie. C'est donc moi qui me suis dévouée, et ça a été il faut l'avouer un grand moment de solitude.
That's all folks ! Je n'ai plus d'histoires de morpions, juste des histoires de poux de l'Education Nationale sur la tête de mes gosses !

Et ton compagnon de couchettes de train, tu l'as revu

Mon seul compagnon de couchette c'était l'oreiller fourni par la SNCF !

Jamais eu de poux, malgré plein d'alerte dans mon ancienne école primaire

La faute/grâce à mes cheveux de rebeu peut être

Je ai jamais eu non plus, faut dire qu'on se faisait traiter en préventif dès que quelqu'un se grattait la tête à l'école.
Et que je dors pas sur les oreillers de la SNCF

[AM] a écrit : Une autre histoire de morpions ?
Ma meilleure copine, quand je faisais mes études à Périgueux, en avait chopé avec son jules du moment, un genre de para édenté et imbibé (mais ça on s'en fout !).

A voir : faudra un jour que l'une d’entre vous, mesdames, m'explique sur quels critères se basent vos choix de compagnon

Pourquoi, t'envisages de te laisser tomber les dents et de te mettre à la gnôle ?

Dans la série des histoires de l'oncle bidule et des couchages (j'ai pas dit coucheries... ), il y a moi à NYC il y a quelques années. Une chambre crade, partagée avec l'étudiante qui était venue avec moi au congrès. Deux lits, deux matelas, l'un recouvert de plastique qui faisait couic-couic et l'autre, normal sans protection bâchée. Privilège de l'âge (relativement au sien) et de mon statut d'encadrante, je prends celui d'apparence normale.
Bien mal m'en a pris... Il était pourri de punaises de lit et je suis revenue de mon séjour new-yorkais avec plus 80 piqures dans le dos...
En même temps, dormir à Manhattan pour 25$/nuit, fallait être trop naïve. J'avais voulu la jouer "encadrante cool" et rester avec elle dans l’hôtel qu'elle avait choisi. Maintenant c'est terminé, je laisse les étudiants choisir leur hôtel et je me colle au Plaza en assumant mon rôle d'encadrante qui se ruine pour un super hôtel à NYC. Non mais !