flo a écrit :Le mur porteur, c'est celui de la façade, et (à moins d'une isolation intérieure) celui qui ne sonne pas creux quand on le toque.
C'est ce qui ressort souvent, mais c'est très inexact.
Une cloison en plâtre sonne forcément creux. Des parpaings creux peuvent constituer un mur porteur. Un mur en béton et porteur, peut-être recouvert d'une cloison ou d'un enduit qui sonne creux, même sans isolation.
Également, des murs intérieurs en béton, peuvent être très résistants sans être porteurs, ce qui veut dire qu'on pourrait par exemple faire une porte dedans sans que l'immeuble s'effondre. Ou qu'avec une charge d'une tonne dessus, ils deviennent porteurs (de cette charge), mais avec des possibles déformations (fissures).
Enfin, il peut arriver qu'un mur n'aille pas "jusqu'en haut", qu'il y ai par exemple un jour entre le haut du mur et la dalle supérieure, et que ce jour soit caché dans le plafond.
flo a écrit :Pour un sol bien stable, évite [...] les bâtiments très anciens, dont la résistance du sol peut être moindre.
Tout dépend de ce que tu entends par 'ancien'. Des immeubles en béton de l'après guerre peuvent être + résistants que des immeubles très récents, car les logiciels de calculs de contraintes actuels sont plus performants, et permettent de calculer au plus juste la quantité de béton, alors qu'avant on prenait des marges énormes 'pour être sûr'. Par contre si tu parles du même 'ancien' que Calino, structure en poutre et murs en torchis, laisse tomber
Il existe trop de pratiques de construction différentes pour faire une généralité.
[AM] a écrit :Vraiment craignos le plancher ?
Pas s'il est posé sur une dalle en béton.
Après,un 300 litres qui n'est pas à moitié plein de sable, ça reste dans des charges acceptables vis à vis des 150kg/m² en moyenne (qui reste le seul critère légal)...
Les poissons sont des animaux à sang froid.
Les poissons mangent les crevettes.
Il ne faut pas vendre l'exuvie des crevettes avant qu'elles n'aient mué.
nomina si nescis, perit et cognito rerum.