La fermeture de mes comptes "sociaux" reflète plus d'une prise de conscience de plusieurs phénomènes :
- Perte de temps à entretenir ces réseaux.
- Bavardage inutile avec des gens qui ont des idées qui corresponde à rien de très intéressant.
- Débats publique devenu dangereux au regarde des lois de France concernant la liberté d'expression en France (ce qui était hier possible, peu tomber, demain, sous le coup de la loi et être rétro-actif au fait que les propos sont toujours accessible).
- Surveillance des moyennes de communication par le pouvoir en place, de ce nouveau mode de communication et ceux, sans aucune procédure judiciaire et de manière "dormante" donc, sans aucun avertissement pour l'internaute. Dans mon esprit ça équivaut à des écoutes téléphonique illégale et donc, j'estime que c'est potentiellement, dangereux pour ma liberté, celle des gens qui me suivent.
- J'estime que les réseaux social ne peuvent plus, proposer des espaces réellement privé, c'est à dire ou l'état ne peu pas aller mettre son nez et ceux techniquement, parce que les personnes qui proposent de mettre en place ces espaces sont, légalement, tenus d'ouvrir ces espaces privé à l'état.
- Le fait d'être sur ces réseau rapporte de l'argent aux gens qui le mettent en place, sans que j'ai autre chose en contre partie, qu'une illusion de vie privé ? On peut me prendre pour un con pendant quelques temps, mais pas éternellement non plus. Je vous invite à vous posez les mêmes questions.
En tant que démocrate, je pense que ce type d'ingérence, vient à dire qu'il faut laisser, le double de vos clés en mairie, qu'il faut établir, publiquement, la liste de vos lecture et contenu culturel et politique qui vous inspire et partager, l'ensemble des conversations privés que vous pourriez avoir avec l'ensemble de vos contacts et proches.
En tant que démocrate, je pense que cette surveillance, discrète, nuit à ma liberté individuelle de penser et il me semble, important, de m'en prémunir, quitte à échanger des idées, autant le faire en vrai et en dehors d'une surveillance étatique, qui pourrait, au grès des volontés politiques, criminalisé certain de mes idées exprimés au prétexte que celle-ci ne corresponde pas avec l'idée gouvernemental que devrait a société qu'il dirige et gouverne.
Désolé pour le hors sujet, sur les réseaux sociaux... Vous pouvez, maintenant, me traiter de paranoïaque.
