Faut il définir "strictement" le Low Tech ?
Posté : jeu. 27 févr. 2014 à 12:37
Le sujet du message n'est pas de définir le low tech, mais bien, faut il le faire ?
Je vois quelques arguments en défaveur d'une définition, quelconque, du Low Tech et je pense que vous ajouterez aussi de vos arguments dans ce sens.
Tout d'abord, définir quelque chose nécessite, d'avoir ou de prendre, une autorité 'fictive ou réelle' sur le sujet traité. Or, la question est, "qui est légitime pour apporter une définition dans ce domaine, ici ou ailleurs ?"
Ensuite, vient la problématique de toute forme de définition de concept flou, que ce soit une fraction de la musique, une idéologie philosophique, une idée politique ou encore spirituelle. Ça entraîne, souvent des variations sur un même thème et c'est ainsi que l'on part d'un mouvement "uni" à une multitude de clochers, se querellant sur des détails.
Nous aurons, fatalement, des adaptes du brassage / pas de brassage, thermoplongeur / pas thermoplonguer, technique de mise en route A, B, C, D, etc. les plus royalistes que le roi, les low tech avec filtre et les intégriste du "trou dans la terre avec de l'eau de pluie ! et on laisse faire la nature".
Bref, ça risque d'être un joyeux foutoir. Avec le risque de mouvement dissident, schisme et querelle byzantine sur le sexe des anges.
Pour éviter ça, la tentation sera grande d'élargir le socle de la définition, mais par trop d'élargissement, nous allons définir l'aquariophilie qui, elle, est déjà définie. Est ce bien utile ?
Je vois aussi un effet positif à la définition d'une démarche Low Tech en aquariophilie, dans le sens où vu de l'extérieur, l'aquariophile, pourra saisir en quelques lignes les grands axes de la démarche et savoir, si, finalement, il a envie de faire la démarche pour ses propres bacs, quel risque il prend, quel type de technique utiliser pour les minimiser ou les éliminer.
Toutefois, ce travail nécessite plus qu'une définition, mais un ensemble de compilation d'expériences, données, que les contributeurs ici ont fait chacun dans leur coin à eux.
Ma vision, externe au départ de ma fréquentation du site, à été la surprise... Puis, une remise en question des mes propres paradigmes dans le loisir et enfin, j'ai sauté le pas, en testant, au départ via un incident sur un bac, puis à plus grande échelle, la technique.
Il est clair que si j'avais eu un article clair sur le Low Tech avec les différentes possibilités, ce qu'impliquait la technique, les risques et les bénéfices, j'aurai certainement été dans un cycle plus court de décision pour franchir le pas.
Personnellement, je trouve cet article de blog répondant à un maximum de question.
Toutefois, il serait intéressant de le compléter, ajouter divers élément de réflexion sur le sujet.
Et vous, qu'en pensez-vous ?
Je vois quelques arguments en défaveur d'une définition, quelconque, du Low Tech et je pense que vous ajouterez aussi de vos arguments dans ce sens.
Tout d'abord, définir quelque chose nécessite, d'avoir ou de prendre, une autorité 'fictive ou réelle' sur le sujet traité. Or, la question est, "qui est légitime pour apporter une définition dans ce domaine, ici ou ailleurs ?"
Ensuite, vient la problématique de toute forme de définition de concept flou, que ce soit une fraction de la musique, une idéologie philosophique, une idée politique ou encore spirituelle. Ça entraîne, souvent des variations sur un même thème et c'est ainsi que l'on part d'un mouvement "uni" à une multitude de clochers, se querellant sur des détails.
Nous aurons, fatalement, des adaptes du brassage / pas de brassage, thermoplongeur / pas thermoplonguer, technique de mise en route A, B, C, D, etc. les plus royalistes que le roi, les low tech avec filtre et les intégriste du "trou dans la terre avec de l'eau de pluie ! et on laisse faire la nature".
Bref, ça risque d'être un joyeux foutoir. Avec le risque de mouvement dissident, schisme et querelle byzantine sur le sexe des anges.
Pour éviter ça, la tentation sera grande d'élargir le socle de la définition, mais par trop d'élargissement, nous allons définir l'aquariophilie qui, elle, est déjà définie. Est ce bien utile ?
Je vois aussi un effet positif à la définition d'une démarche Low Tech en aquariophilie, dans le sens où vu de l'extérieur, l'aquariophile, pourra saisir en quelques lignes les grands axes de la démarche et savoir, si, finalement, il a envie de faire la démarche pour ses propres bacs, quel risque il prend, quel type de technique utiliser pour les minimiser ou les éliminer.
Toutefois, ce travail nécessite plus qu'une définition, mais un ensemble de compilation d'expériences, données, que les contributeurs ici ont fait chacun dans leur coin à eux.
Ma vision, externe au départ de ma fréquentation du site, à été la surprise... Puis, une remise en question des mes propres paradigmes dans le loisir et enfin, j'ai sauté le pas, en testant, au départ via un incident sur un bac, puis à plus grande échelle, la technique.
Il est clair que si j'avais eu un article clair sur le Low Tech avec les différentes possibilités, ce qu'impliquait la technique, les risques et les bénéfices, j'aurai certainement été dans un cycle plus court de décision pour franchir le pas.
Personnellement, je trouve cet article de blog répondant à un maximum de question.
Toutefois, il serait intéressant de le compléter, ajouter divers élément de réflexion sur le sujet.
Et vous, qu'en pensez-vous ?