Poubellarium interNational Connection

comme dit ici: viewtopic.php?f=14&t=5586

j'ai actuellement une femelle colisa lalia en bac hôpital de 20l pour 5 jours (premier jour de traitement aujourd'hui).
Si elle se remet, je peux évidemment la remettre dans le 96l où elle était avant, en compagnie de néons bleus, de corys pandas et de crevettes. Je ne suis pas sûre que pour elle, ça change grand-chose, d'avoir des "compagnons", si les compagnons en question ne sont pas de son espèce.

Autre solution: lui faire un poubellarium rien que pour elle en attendant le printemps, le déménagement de mes PR, et du coup l'utilisation possible d'un 100L où je pourrais lui adjoindre un mâle (voire un mâle et une autre femelle, je lis des avis très contradictoires là-dessus).

J'ai trouvé chez moi un bac en plastique translucide de 40l, que je peux rapidement lui aménager. Mais est-ce que ça vaut le coup?

Si c'était vous, vous la remettriez dans le bac communautaire (96l, 9 néons, 5 pandas) ou dans un bac à elle (40l toute seule)?

A noter que le colisa lalia apprécie l'eau plutôt plus chaude que les néons bleus et les pandas, c'est peut-être pour ça qu'elle est tombée malade... donc j'aurais plutôt tendance à préférer la séparer, mais le faible volume du poubellarium envisagé me fait hésiter.

Personnellement j'opterais pour le petit bac tranquille et chaud.... à l'instinct.

Au pire je le prépare et si c'est pas pour elle... je trouverai bien un truc à mettre dedans!
Demain je vais aller acheter du sable et des plantes et ramasser des feuilles...

Bac plastoc moche mis en route. Finalement vu que je l'ai blindé de plantes, si ça tombe ça sera mon plus beau bac... plus qu'à espérer qu'il n'explose pas sous la pression de l'eau! et que Madame Lalia s'y plaise lorsqu'elle y déménagera dans quelques jours... pour l'instant, dans son bac hôpital tout nu, elle reste planquée dans un coin, et j'ai même l'impression qu'elle ne se nourrit pas. A moins aussi qu'elle soit tellement flippée qu'elle ne vienne vaguement picorer trois trucs à la surface que quand je pars...