J'aurais du préciser : "sable corallien de
grosse granulométrie" par exemple du sable d’aragonite.
Il faut un sable de nature
poreuse (c'est le cas du sable corallien) afin qu'il puisse abriter les organismes (bactéries par exemple) qui assureront le travail de filtration, conjointement aux pierres vivantes.
En Jaubert, il faut mettre le sable corallien le plus fin juste après le plenum (vide de 1 à 2 cm au fond du bac) et celui qui a la plus grosse granulométrie en surface.
Le sable le plus grossier est moins sensible au brassage. En profondeur le sable fin corallien facilite le travail et le développement des bactéries anaérobies qui n'ont pas besoin d'oxygène pour se développer.
Le sable de nos plages, même s'il est d'assez grosse granulométrie est à déconseiller en méthode naturelle ou en Jaubert car c'est souvent du quartz, donc non poreux.
En récifal (méthode Berlinoise par exemple), le sable est souvent absent car le gros du travail de filtration est assuré par les pierres vivantes et l'écumeur. Lorsqu'il est présent, c'est la plupart du temps en fine couche (2 - 3 cm) et dans une optique purement décorative. Dans ce cas, il sera souvent assez fin et très blanc. C'est le cas du sable Bora Bora
Par contre, il m'est arrivé de saupoudrer un petit de sable vivant prélevé à marée basse pour faire un apport de micro-organismes. Idem pour l'ajout d'eau de mer. J'ai pris des risques car cela peut aussi introduire des composés non souhaités.
Je suis loin d'être un spécialiste, encore moins LE spécialiste
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