Ombre ou soleil ?
Posté : jeu. 23 juin 2005 à 8:49
Question fondamentale au PiNC : un poubellarium doit-il être à l'ombre ou au soleil ?
Pour l'instant, nous avions répondu prudemment en recommandant l'orientation à l'est, pour avoir le soleil du matin (qui réchauffe du froid de la nuit), mais pas le soleil brûlant de l'après-midi.
L'été commence à peine, mais un premier point me semble possible.
Pour l'instant, les échecs (relatifs) ont eu lieu dans des eaux froides, dans des projets à l'ombre. Pour eux, la saison est courte, puisque les introductions avant mi-juin semblent très risquées. Par contre, en août, ce seront peut-être eux, les rois du pétrole !
En ce qui me concerne, j'ai placé mes bacs en plein soleil (aucune ombre à toute heure). Pas par calcul génial, mais parce que Mauricette voulait pas ailleurs. Je n'ai donc aucun mérite.
Et il se trouve que j'ai pu mettre des poissons très tôt (2/04 pour les tanichthys et 30/04 pour les guppies et platys). Je n'ai perdu qu'un très jeune Tanichthys. J'ai donc bénéficié d'une saison très précoce, sans problème particulier, en région parisienne.
Depuis les grosses chaleurs de juin, j'ai pu ombrager sommairement mes bacs (couvercles et socles par-dessus) et cela a suffi à maintenir une température en-dessous de 30°C au fond des bacs. Toujours pas de problème.
Qu'en conclure pour l'instant ?
Peut-être qu'une exposition au soleil est finalement préférable, à deux conditions : des bacs de 300 litres au moins, et la possibilité d'ombrager en été, d'abord avec des couvercles, puis sans doute avec des dispositifs plus épais. Ceci reste à valider en juillet-août, bien sûr...
Mais si mes bacs restent tout l'été à des températures convenables le jour (la nuit étant un répit de fraîcheur), j'aurai gagné deux bons mois sur la saison, ce qui vaut la peine !
Sur ces bases, la solution ultime et idéale sera peut-être un bac de 300 litres en plein soleil, placé dans une légère excavation, laquelle serait ensuite comblée de terre au fur et à mesure de l'avancée de l'été, quitte à former un léger monticule autour du poubellarium en août.
Donc Mauricette, sans le faire exprès, a peut-être apporté au PiNC une leçon intéressante.
Sacrée Mauricette.
Débat à suivre...
Pour l'instant, nous avions répondu prudemment en recommandant l'orientation à l'est, pour avoir le soleil du matin (qui réchauffe du froid de la nuit), mais pas le soleil brûlant de l'après-midi.
L'été commence à peine, mais un premier point me semble possible.
Pour l'instant, les échecs (relatifs) ont eu lieu dans des eaux froides, dans des projets à l'ombre. Pour eux, la saison est courte, puisque les introductions avant mi-juin semblent très risquées. Par contre, en août, ce seront peut-être eux, les rois du pétrole !
En ce qui me concerne, j'ai placé mes bacs en plein soleil (aucune ombre à toute heure). Pas par calcul génial, mais parce que Mauricette voulait pas ailleurs. Je n'ai donc aucun mérite.
Et il se trouve que j'ai pu mettre des poissons très tôt (2/04 pour les tanichthys et 30/04 pour les guppies et platys). Je n'ai perdu qu'un très jeune Tanichthys. J'ai donc bénéficié d'une saison très précoce, sans problème particulier, en région parisienne.
Depuis les grosses chaleurs de juin, j'ai pu ombrager sommairement mes bacs (couvercles et socles par-dessus) et cela a suffi à maintenir une température en-dessous de 30°C au fond des bacs. Toujours pas de problème.
Qu'en conclure pour l'instant ?
Peut-être qu'une exposition au soleil est finalement préférable, à deux conditions : des bacs de 300 litres au moins, et la possibilité d'ombrager en été, d'abord avec des couvercles, puis sans doute avec des dispositifs plus épais. Ceci reste à valider en juillet-août, bien sûr...
Mais si mes bacs restent tout l'été à des températures convenables le jour (la nuit étant un répit de fraîcheur), j'aurai gagné deux bons mois sur la saison, ce qui vaut la peine !
Sur ces bases, la solution ultime et idéale sera peut-être un bac de 300 litres en plein soleil, placé dans une légère excavation, laquelle serait ensuite comblée de terre au fur et à mesure de l'avancée de l'été, quitte à former un léger monticule autour du poubellarium en août.
Donc Mauricette, sans le faire exprès, a peut-être apporté au PiNC une leçon intéressante.
Sacrée Mauricette.
Débat à suivre...