La poubelle façon d'aimer vos poissons ! 1er forum consacré à l'estive (en poubellarium), à l'aquariophilie naturelle & minimaliste, et à la microfaune aquatique
Bonjour à tous, je vous présente mon débilus, Hiro de son prénom, shiba-inu de son état, adopté à l'âge de 2 ans, 7 ans cette année.
Joueur 5 minutes, indépendance maximale, patience extrême, rappel : mot et définition inconnu, calme & zen attitude, fier comme un paon, douceur féline, craintif : tendance à s'améliorer, poilu : +++
Je me suis beaucoup baladé en forêt avec ce chien (une force tranquille)+ un boxer + une BA .
C'était surprenant de voir ces chiens être aussi performants et polyvalents que les chiens de chasseurs.
J'en garde d'excellents souvenirs (une pensée pour eux qui ne sont plus) et grâce à eux de belles observations de "gibier" en tous genres.
C'est le film où tous les chiens de traineau ils crèvent à la fin?
Si c'est celui là, ça m'a traumatisé ado.
Parce que je ne raconte pas que des conneries, j'en écris aussi : F.A.Q.
Pis c'est comme les Taro, ça pousse dans le caniveau.
L'endroit où je passe le reste de mon temps MAARSELOTT
Avec ses 40 cm au garrot (enfin 42 pour Hiro), taille d'un cocker, c'est un chien de traineau nain.
J'ai droit à beaucoup de choses quand je croise des gens :
1/ le classique : "oh on dirait un renard". J'avoue qu'au bout de 5 ans, 3 fois par jour du coup du renard, je ne réponds plus.
2/ "un louuuuuup" (avec le ouuuuu en hurlant). Ok, un loup toy, d'une couleur rousse.
3/ "un husky". Vu sa taille, sa couleur : bof, niveau caractère et poils oui ça colle.
4/ "un coyote". Je ne m'y attendais pas, c'est bien trouvé.
5/ "un malamute" : celle là aussi m'a surprise, la personne n'a du jamais voir un vrai malamute.
6/ "un loup-garou" : ça c'était rigolo !
....
110356404116545/ "oh un shiba !" : ouiiii bénie soit cette personne de reconnaître la race !
“Toute vérité franchit trois étapes. D’abord elle est ridiculisée. Ensuite, elle subit une forte opposition. Puis, elle est considérée comme ayant toujours été une évidence.” Schopenhauer