Même si je suis pour les toilettes sèches et compagnie, elle a raison, ça vend pas du rêve, les gens préfèrent acheter un jean Diesel et du parfum Dior.Je voudrais pas dire, mais hormis les praticiens du second degré (y'en a sur ce fil ?), z'êtes vachement fun les jeunes. La peau abîmée par l'eau, les fruits tachés, l'autoflagellation permanente, le débarbouillage au gant de toilette (y'a pas pire comme réserve à vieilles bactéries, le gant de toilette, ah si, l'éponge de toilette et le vieux savon qui marine sur un coin de l'évier), bientôt les toilettes sèches... C'est la démonstration de pourquoi l'écologie ne "prend" pas à grande échelle : la très sainte inquisition de la vie terne, ben ça fait pas rêver, ça fait même partir en courant.
Faut dire aussi que certains écolos qu'on voir à la téloche (j'en ai pas mais j'le sais) qui se regroupe façon secte à bouffer que du bio aller chier dans la nature et blablabla, ben moi j'me dit aussi qu'ils sont tarés

Et je parlais aussi de ça :
Là j'aurais pas dit mieuxTu oublies :
Les bombe nucléaire, les bombes barométrique (une magnifique invention), le napalm, les armes de plus en plus perfectionner (bombe guidé, sous-marin nucléaire etc), les pesticides, la "mal bouffe", la "liberté du marché", la finance "virtuel", internet, la "conquête de l'espace", le voyage en avion 'pour les masses', la domination de la voiture etc.
Non, il est clair que les 30 glorieuses et les années 80 et 90 on produit vraiment des choses incroyables pour l'humanité, un apogée technologique réserver au occidentaux, créer sur le "dos" de pays en voie de développement ou pire, subissant les pires dictature.
Nous avons la chance d'être bien née et en avoir profiter et nos dirigeants, désirent qu'une seule chose, que nous en profitions encore longtemps.
Toutefois, il est clair que nous ne sommes pas armée pour relever, les défis environnementaux, sociaux, que la génération de nos parents, notre génération et celle de nos enfants, laissons en héritage à nos petits enfants. Toutefois, coincé dans un rapport hédoniste au monde, nous vivons dans les plaisirs infinis, tellement devenu commun, que nous ne nous rendons plus compte, combien, nous sommes privilégier. Pour certain, le retour à la réalité, risque d'être dure.
