Alors tous mes apisto (et je pourrais aussi ajouter à la liste les rami du 96 litres) sont en "relatif" low-tech, en ce sens que j'ai rajouté un chauffage dans chacun des bacs, réglé sur 23 ou 24°.
Sinon tous ces bacs sont en eau de pluie, et sans filtration.
- Les cacatuoïdes, dans mon bureau, cohabitent avec des corys habrosus et des mini-japonicas (tiens, ce WE, j'en ai vu une gris foncé, une variation chromatique que je n'avais jamais vue chez elles ; le sol foncé et/ou l'eau très acide ?). Sol technique sans marque, de chez MiniAqua 77, ohko stones, feuilles de magnolia, et bac très planté (flottantes, najas et plantes émergées).
- Les agassizii, sous le toit, partagent leur bac, à l'insu de mon plein gré, avec quatre formosa au moins (à qui ils fichent une paix royale) et quelques crevettes. Sol en sable de Loire, bac méga, hyper, super planté (!). J'ai rajouté quelques petits pots renversés pour jouer le rôle de cachette/lieu de ponte éventuel. Ceux-là me semblent vraiment très farouches, même pour manger, ils ne sortent qu'en mode furtif.
- Pour mémoire, les rami sont dans un bac méga-planté, avec sol en akadama. Ils cohabitent avec Rio Tefe, nannostomus et crevettes mini-japonica.
En tous cas, dans tous ces bacs, la seule technologie, ce sont les thermoplongeants - et l'éclairage pour les plantes -, et avec deux ou trois semaines de recul pour les cacatuoïdes et agassizii, une huitaine de mois pour les ramis, ça semble très bien se passer. Les bacs sont plutôt sombres, du fait de la végétation et du décor, et donc je n'ai pas un éclairage de stade de foot pour admirer les poissons ; ils sont, en plus, habitués à pouvoir se planquer et à ne pas être dérangés, donc assez peu visibles
(cette remarque n'étant pas valable pour le couple de rami, qui sont de vrais caniches : à l'heure de la bouffe, ils me font un cirque pas possible pour avoir à manger, et je leur distribue quasiment "à la cuillère" pour chacun d'eux). Mais ça me va bien, c'est même exactement ce que je recherchais pour eux : un habitat tranquille où ils fassent leur vie à leur guise, sans être sans cesse scrutés
