
Je dormirais moins con

Et encore, t'as pas vu les éleveurs de killies...!Lapsus a écrit :par contre chez les pro apisto et autres cichlidés nains américains, c'est pas un souci, certains ont même fait le constat que, naturellement, ils ont tendance à se reproduire entre frères et soeurs....
Les petites populations endémiques, qui se reproduisent donc souvent entre membres d'un même famille, sont peu porteuses de tares génétiques, car du fait de l'endémisme elles feraient disparaitre très vite la population (donc l'espèce ou la sous espèce).Lapsus a écrit :par contre chez les pro apisto et autres cichlidés nains américains, c'est pas un souci, certains ont même fait le constat que, naturellement, ils ont tendance à se reproduire entre frères et soeurs....
Tritium a écrit :Les petites populations endémiques, qui se reproduisent donc souvent entre membres d'un même famille, sont peu porteuses de tares génétiques, car du fait de l'endémisme elles feraient disparaitre très vite la population (donc l'espèce ou la sous espèce).Lapsus a écrit :par contre chez les pro apisto et autres cichlidés nains américains, c'est pas un souci, certains ont même fait le constat que, naturellement, ils ont tendance à se reproduire entre frères et soeurs....
Au contraire quand on a une grande population cosmopolite et voyageuse, on a une très forte variabilité génétique et donc un très gros risque de tares qui ressortiront très vite en cas de croisement consanguin. Les tares pouvant être une couleur trop voyante qui attirerait les prédateurs (donc une tare recherchée par les sélectionneurs) ou une malformation affaiblissante (qui est aussi recherchée par certains sélectionneurs, par exemple certaines variétés de poissons rouges).
Du coup le principe "d'ajouter du sang neuf" consiste également à ajouter des tares génétiques.
Je vous aimmmmmmme !fretka a écrit :ça dépend de l'hétérozygocité de tes individus...
En gros, si ta population ne contient que de individus ne comportant eux-même que des gènes codant pour le rouge, la souche restera rouge, hormis mutation spontanée naturelle affectant la coloration.
Le vivant n'est pas simple et ne peut se ranger dans des petites cases bien délimitées.
La consanguinité n'est en soi pas du tout un problème si il y a une forte sélection derrière. Pour exemple, tous les chinchillas actuels en captivité descendent de 10 ou 20 individus, actuellement on a tout plein de couleurs alors que le type sauvage est gris, on a sélectionnée sur des mutations spontanées affectant la couleur, et on a aussi sélectionné les animaux les plus sympas et les plus résistants aux conditions de captivité. Certes, certaines fois, on sélectionne la couleur et pas la vigueur... Et ça c'est pas bien.