Paroles paroles....
- acara
- Francis Lalanne
- Messages : 582
- Enregistré le : lun. 13 juin 2005 à 10:07
- Localisation : Suisse ...
Paroles paroles....
Un texte, des paroles de chansons...une simple phrase... vous plaît beaucoup, que vous l'ayez écrit vous même ou pas - publiez le ici que nous puissions tous en profiter ...
Bon.... le texte est un peu long mais tellement vrai :
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Dans ce monde y a trop de sang qui coule parce qu'on est différents, mais notre point commun est notre indifférence.
Universelle est la race humaine, originel est notre péché, mais de s'aimer on ne peut pas s'empêcher. Cohabiter on est voués à le faire, de force ou de gré, même si différent est notre pedigree; les intérêts mettent l'amour de coté.
Dédié aux Hommes qui ont combattu pour la paix
Parce que j'ai voulu dire des choses, réunir des hommes de cultures différentes, parce que j'ai prôné le dialogue et prêché l'amour, prêché la vraie parole. Réunir des peuples de religions opposées. Allergique au Bien, l'homme a la nausée.
Je m'appelle Ghandi, je suis mort......... parce qu'on préfère la guerre à la paix, les armes aux dialogues.... Je suis mort d'un cancer de la haine généralisée dans tout le globe....
Mort parce que l'Homme ne se sert pas de ses deux lobes cérébraux.
Je suis mort....
parce que je combattais le racisme aux Etats-Unis, le noir n'était pas "welcome", trop de haine...
Je m'appelle Malcom X, homme libre, homme ivre d'égalité, de fraternité, La couleur n'est pas une frontière, certe trop d'esprits étroits, trop de conservateurs de mauvaises graines. Je me suis fait buter, des balles ont fusés. Quand la haine est montée en fusée, je me suis envolé comme mon discours et mon papier usé : je suis mort.
Dans les montagnes d'Afghanistan, d'origine Pashtoune on m'a dit: " certes, c'est ton pays mais pas touche ! " Je me suis fait exploiter par la CIA pour vaincre l'Union Soviétique.
Je m'appelle Massoud, je me suis fait fait piéger par une caméra, mon peuple a pleuré pour moi. Avec du recul, ils cherchaient à construire un oléoduc pour faire transiter l'or noir, leur putain de pétrole qui dirige toutes les boussoles. Ils sont même allés en Irak fouiller les sous-sols.
Ooooooooh Pour nos frères là haut, qui se sont envolés trop tôt, comme une feuille d'automne. Ooooooh Ooooooooh Pour nos frères là haut, on se reverra tous bientôt; mon coeur, une rose sur vos tombes.
Pour nos stars lalalalala pour toutes nos stars lalalala j'ai dit nos vraies stars lalalalala pour toutes nos vraies stars lalalalala
Le vent se lève, un courant d'air frais, une brise caresse la flore, dessine les trajectoires que suivent les pétales qui tombent sur le sol.Les feuilles mortes tombent, les arbres se dénudent, il tombe des pluies comme s'ils annoncaient le déluge...
Non ! Il tombe des obus, frappes aux mortiers. Je suis vêtu d'un uniforme kaki, soldat du 15ème régiment d'infanterie de l'armée des USA. Dans les forêts du Vietnam, je suis mort pour la soi-disant fierté de mon pays.
Et moi je m'appelle X, personne inconnue à qui une balle a transpercé le coeur, tiré par un serial-killer du Kukluxklan. Aujourd'hui, je suis rien d'autre qu'une célèbre victime d'un crime contre l'humanité parce que j'ai pas la peau blanche.
Et moi, j'étais dans un bureau au 70ème étage d'une tour, un avion s'est écrasé dessus. Peut-être par accident ? ou peut-être à cause des gens qui mêlent politique et religion.
Dans ce monde y a trop de sang qui coule parce qu'on est différents, et notre point commun est notre indifférence. Universelle est la race humaine, originel est notre péché, mais de s'aimer on ne peut pas s'empêcher. Cohabiter on est voués à le faire, de force ou de gré, même si différent est notre pedigree; les intérêts mettent l'amour de côté. Dédié à ceux qui ont combattu pour la paix.
Ooooooooh Pour nos frères là haut, qui se sont envolés trop tôt, comme une feuille d'automne. Ooooooh Ooooooooh Pour nos frères là haut, on se reverra tous bientôt; mon coeur, une rose sur vos tombes.
Ooooooooh Pour nos frères là haut, qui se sont envolés trop tôt, comme une feuille d'automne. Ooooooh Ooooooooh Pour nos frères là haut, on se reverra tous bientôt; mon coeur, une rose sur vos tombes.
L'Algerino
Bon.... le texte est un peu long mais tellement vrai :
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Dans ce monde y a trop de sang qui coule parce qu'on est différents, mais notre point commun est notre indifférence.
Universelle est la race humaine, originel est notre péché, mais de s'aimer on ne peut pas s'empêcher. Cohabiter on est voués à le faire, de force ou de gré, même si différent est notre pedigree; les intérêts mettent l'amour de coté.
Dédié aux Hommes qui ont combattu pour la paix
Parce que j'ai voulu dire des choses, réunir des hommes de cultures différentes, parce que j'ai prôné le dialogue et prêché l'amour, prêché la vraie parole. Réunir des peuples de religions opposées. Allergique au Bien, l'homme a la nausée.
Je m'appelle Ghandi, je suis mort......... parce qu'on préfère la guerre à la paix, les armes aux dialogues.... Je suis mort d'un cancer de la haine généralisée dans tout le globe....
Mort parce que l'Homme ne se sert pas de ses deux lobes cérébraux.
Je suis mort....
parce que je combattais le racisme aux Etats-Unis, le noir n'était pas "welcome", trop de haine...
Je m'appelle Malcom X, homme libre, homme ivre d'égalité, de fraternité, La couleur n'est pas une frontière, certe trop d'esprits étroits, trop de conservateurs de mauvaises graines. Je me suis fait buter, des balles ont fusés. Quand la haine est montée en fusée, je me suis envolé comme mon discours et mon papier usé : je suis mort.
Dans les montagnes d'Afghanistan, d'origine Pashtoune on m'a dit: " certes, c'est ton pays mais pas touche ! " Je me suis fait exploiter par la CIA pour vaincre l'Union Soviétique.
Je m'appelle Massoud, je me suis fait fait piéger par une caméra, mon peuple a pleuré pour moi. Avec du recul, ils cherchaient à construire un oléoduc pour faire transiter l'or noir, leur putain de pétrole qui dirige toutes les boussoles. Ils sont même allés en Irak fouiller les sous-sols.
Ooooooooh Pour nos frères là haut, qui se sont envolés trop tôt, comme une feuille d'automne. Ooooooh Ooooooooh Pour nos frères là haut, on se reverra tous bientôt; mon coeur, une rose sur vos tombes.
Pour nos stars lalalalala pour toutes nos stars lalalala j'ai dit nos vraies stars lalalalala pour toutes nos vraies stars lalalalala
Le vent se lève, un courant d'air frais, une brise caresse la flore, dessine les trajectoires que suivent les pétales qui tombent sur le sol.Les feuilles mortes tombent, les arbres se dénudent, il tombe des pluies comme s'ils annoncaient le déluge...
Non ! Il tombe des obus, frappes aux mortiers. Je suis vêtu d'un uniforme kaki, soldat du 15ème régiment d'infanterie de l'armée des USA. Dans les forêts du Vietnam, je suis mort pour la soi-disant fierté de mon pays.
Et moi je m'appelle X, personne inconnue à qui une balle a transpercé le coeur, tiré par un serial-killer du Kukluxklan. Aujourd'hui, je suis rien d'autre qu'une célèbre victime d'un crime contre l'humanité parce que j'ai pas la peau blanche.
Et moi, j'étais dans un bureau au 70ème étage d'une tour, un avion s'est écrasé dessus. Peut-être par accident ? ou peut-être à cause des gens qui mêlent politique et religion.
Dans ce monde y a trop de sang qui coule parce qu'on est différents, et notre point commun est notre indifférence. Universelle est la race humaine, originel est notre péché, mais de s'aimer on ne peut pas s'empêcher. Cohabiter on est voués à le faire, de force ou de gré, même si différent est notre pedigree; les intérêts mettent l'amour de côté. Dédié à ceux qui ont combattu pour la paix.
Ooooooooh Pour nos frères là haut, qui se sont envolés trop tôt, comme une feuille d'automne. Ooooooh Ooooooooh Pour nos frères là haut, on se reverra tous bientôt; mon coeur, une rose sur vos tombes.
Ooooooooh Pour nos frères là haut, qui se sont envolés trop tôt, comme une feuille d'automne. Ooooooh Ooooooooh Pour nos frères là haut, on se reverra tous bientôt; mon coeur, une rose sur vos tombes.
L'Algerino
Modifié en dernier par acara le jeu. 08 mars 2007 à 10:56, modifié 5 fois.
- acara
- Francis Lalanne
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Nyctalopus airlines
Au nom du père, au nom du vice,
Au nom des rades et des mégots,
Je lève mon hanap et je glisse
Dans mon scaphandre à nébulos.
Je flye vers la doulce Atlantide,
Allumée dans mes courants d'air.
Je flye vers les chiens translucides
Et les licornes aux cheveux verts,
Et je patrouille dans mon cargo
Chez les ovnis du crépuscule
À collimater mes glaviots
Dans mon viseur de somnambule.
Je flye vers les radars au bar
Qui me montrent la voie lactée
Quand la fée aux yeux de lézard
Me plonge dans ses brouillards nacrés.
Je flye vers la cité-frontière
Dans la nuit des villes sans lumière.
Au nom du père, au nom du vice,
Au nom des rades et des mégots,
Je lève ma Guinness et je glisse
Dans la moiteur des mélancos.
Je flye vers les parfums tactiles
Et vers l'androgyne ovipare.
Je flye vers l'assassin tranquille
Sous mon sourire d'aérogare
Et j'carbure aux années-lumière,
Mon astronef dans les rigoles,
Mes rétrofusées dans la bière
Pour la liturgie d'la picole.
Je flye vers le chaos caché
Dans les vestiges de ma mémoire
Quand je n'sais plus de quel côté
Se trouvent mes yeux dans les miroirs.
Je flye vers la cité-frontière
Dans la nuit des villes sans lumière.
H.-F. Thiéfaine
Au nom du père, au nom du vice,
Au nom des rades et des mégots,
Je lève mon hanap et je glisse
Dans mon scaphandre à nébulos.
Je flye vers la doulce Atlantide,
Allumée dans mes courants d'air.
Je flye vers les chiens translucides
Et les licornes aux cheveux verts,
Et je patrouille dans mon cargo
Chez les ovnis du crépuscule
À collimater mes glaviots
Dans mon viseur de somnambule.
Je flye vers les radars au bar
Qui me montrent la voie lactée
Quand la fée aux yeux de lézard
Me plonge dans ses brouillards nacrés.
Je flye vers la cité-frontière
Dans la nuit des villes sans lumière.
Au nom du père, au nom du vice,
Au nom des rades et des mégots,
Je lève ma Guinness et je glisse
Dans la moiteur des mélancos.
Je flye vers les parfums tactiles
Et vers l'androgyne ovipare.
Je flye vers l'assassin tranquille
Sous mon sourire d'aérogare
Et j'carbure aux années-lumière,
Mon astronef dans les rigoles,
Mes rétrofusées dans la bière
Pour la liturgie d'la picole.
Je flye vers le chaos caché
Dans les vestiges de ma mémoire
Quand je n'sais plus de quel côté
Se trouvent mes yeux dans les miroirs.
Je flye vers la cité-frontière
Dans la nuit des villes sans lumière.
H.-F. Thiéfaine
Je plussois !pepejul a écrit :c'est surtout une grosse connerie de parler de race humaine....
J'aurais plutôt utilisé "confusion", "erreur" ou "dérive sémantique" mais le résultat est le même, la short'touch en moins



