Reste le côté technique, ou plutôt non-technique, sur lequel j'aimerais bien avoir des conseils et des retours d'expériences. Il s'agira donc d'une cuve nue de 120 litres (un mètre de façade), que je souhaite placer dans la pièce sous le toit, avec un éclairage zénithal, façon ampoulée de désigner le grand vélux !

Idéalement, je voudrais qu'il s'agisse d'un bac totalement auto-suffisant : contrairement à mes autres aquas, qui sont dans mon bureau, et que je passe mon temps à scruter, surveiller, poupouner, ce bac sera dans une pièce où je n'ai pas l'intention d'aller tous les jours. Je souhaiterais, si c'est possible, ne pas avoir à nourrir, ou alors rarement.
La pièce, même si elle est très correctement isolée et comporte un convecteur, ne devra, dans mon idée, pas être chauffée : la chaleur du reste de la maison monte (pas de porte), et au plus bas l'hiver, ça ne descend jamais en-dessous de 15° sans chauffage. L'été, ça peut virer à la fournaise, 35° facile.
Mes contraintes, donc, c'est :
- pas de chauffage, de filtre, ou de biniou électrique
- si possible pas d'autre éclairage que celui du vélux (mais là-dessus, je peux changer d'avis, il faut bien que les plantes trouvent leur énergie quelque part pour photosynthétiser...)
- un bac si possible auto-suffisant côté nourriture
C'est là-dessus que j'ai le plus besoin de conseils. Tous mes bacs sont "ensemencés" avec daphnies, copépodes et autres aselles, sans parler des crevettes et escargots. Mais j'ai le sentiment qu'en un jour ou deux, les poissons mangent tout, et qu'il faut apporter de la nourriture, vivante ou autre. Avez-vous des expériences de bacs où il ne faille pas "recharger" en nourriture vivante ?
Pour la population, je pense partir sur un truc extrêmement light, genre une demi-douzaine de titteya (je suis preneuse de toute autre idée, naturellement).
Bien sûr que je pense aux bacs intérieurs de notre grand Gourou
