Je continue le tour du proprio et vous présente mes bacs intérieurs.
Le premier, c'est Less is More (et ouais, je donne des p'tits noms à certains de mes bacs ; ça doit être le début de la démence sénile). C'est un 60 litres que j'ai trouvé sur le trottoir en trottinant, guillerette, vers mon Simply Market préféré. Je ne vous raconte pas la dégaine de Mamie traînant son caddy à roulettes plein comme un œuf, surmonté d'un bac crasseux en équilibre instable !
Donc le "concept", c'est akadama / eau du robinet et tentatives pour avoir une plantation immergée/émergée, d'où le remplissage à demi. Pour l'instant, seule l'hygrophila a bien voulu faire ce que je voulais ; les crypto sortent une feuille de l'eau de temps à autres, la HZ pose des fleurs bleues régulièrement en surface, mais voilà tout. Juste un gros exhausteur, et surtout Mr Big Papyrus pour assurer l'épuration chimique. Un troupeau de RC, et beaucoup moins de réussite avec les TWB et autres snows qui peuplent le bac (expliquant le fait que je suis partie sur l'akadama pour avoir une eau douce et acide). Bon, assez de tchatche, deux photos :
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Voilà maintenant Mitsouko, mon genre-de-wabi-kusa :
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C'est donc un bac à tortues dont j'ai gardé la plage en verre - masquée, sur le devant, par des roches -. En-dessous, y'a un mini-exhausteur pour remuer un peu la soupe et oxygéner. Eclairé par une lampe Tornado montée sur éclairage top-chef-DIY bricolé par mon homme avec des pièces détachées directement issues du suédois de Franconville, héhé !
Une 'tite vue du bazar à chlorophylle :
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Un gros mélange, donc, de tout et n'importe quoi, et le plaisir de voir ça s'enchevêtrer et faire du vert ! Quelques habitants (quelqu'une reconnaîtra ses planorbes bleues... ) :
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J'aime particulièrement voir les crevettes et escargots bronzer en surface, à moitié sortis de l'eau, et les pandas s'aventurer sous la plage : c'est marrant, y'en a toujours un pour aller bouder là pendant que les autres batifolent en groupe
Bon, je vais déjà balancer la première partie du roman...
Je mourrai moins bête ce soir ! Pour revenir à ces maousse-crevettes, je pense que de toutes façons il n'y a guère de suspense compte-tenu de leur patron de coloration et aussi du fait qu'elles s'épanouissent dans une eau dure à Ph élevé (enfin, là je spécule, parce que je teste rien dans ce bac : mais compte tenu du fait que l'eau du robico, ici, c'est merci Calgon, que les exhausteurs font des méga-bulles et que les mellow-stones c'est calcaire, y'a pas trop de risques à penser que c'est du béton, cette eau !).
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