L'âge, la lassitude... Meuh non, j'rigole !!
Sur ce projet-là, j'ai vraiment envie de partir sur un "concept" biotope. C'est forcément un truc réinventé de toutes pièces, bien sûr, mais bon, je ne monte pas ce bac pour maintenir telle ou telle espèce, mais pour voir si l'osmose se fait, et si ça se met à grouiller de vie ! Je vais peut-être déchanter, mais bon, là, c'est ce qui m'amuse.
Et puis je dois bien avouer que je reviens de plus en plus des consignes diffusées sur le net à propos des indésirables. Deux ou trois exemples :
- Hier, j'ai repêché dans le bac des sp. blue, là-haut, une larve de libellule bien grasse et bien morte. Libellule=0, crevettes=1. Et il y a plein de juves là-dedans.
- Dans le bac des formosa, il y a quelques planaires. Et une soupe de crevettes. Grainées jusqu'aux yeux. Et des juves.
- J'ai défait partiellement, hier, le bac à soupe de endler's de la petite pièce à côté de mon bureau (parce que trop de plantes aériennes, je ne voyais plus rien dans la partie flotte). Une fois élagué, une fois la rampe posée dessus, surprise-surprise : les tylo en pleine forme - et je crois bien que ce que je prenais pour de gros mélanoïdes, bon, ben... - ; et une invraisemblable soupe de crevettes : des noires (venues d'où ?!), des babaultis, des bleues magnifiques (jelly, blue pearl ?), des trucs qui ressemblent bien à des tigers. Bref, j'avais mis là-dedans, au fil des mois, un peu tout et n'importe quoi comme boutures venant des autres bacs et ça a fait sa vie.
Alors la sélection, l'eau pure et bien testée, et la chasse aux indésirables, euh, comment dire. Bien sûr que je ne diffuserai jamais ce qu'il y a là-dedans (trop d'incertitude sur l'étiquettage et sur les bébêtes clandestines), mais somme toute, on a de meilleures surprises je trouve en maintenant les bacs à la sauvage qu'en s'appliquant comme dans le manuel
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