
Bon, puisque c'est tour de table...!
Dehors : en plein été, rajouts d'eau presque quotidiens (tuyau d'arrosage) à la fois pour combler l'évaporation et pour "aérer" la flotte en profitant du mouvement d'eau.
Dedans_dans_mon_bureau : je comble l'évaporation presque quotidiennement. Une fois par semaine, je change "1 ou 2 cm" de flotte (désolée, je ne raisonne pas en pourcentages du volume ou en litre !). L'eau usée sert à arroser mes plantes d'intérieur. J'ai deux ou trois bacs en eau de pluie, non filtrée, tout droit venue du toit bien pollué. Les ramis semblent apprécier. Le reste, eau du robinet reposée. Jamais d'additifs genre conditionneur. Chaque semaine, j'ai un ou deux bacs dans le viseur, et ceux-là ont droit à un élagage un peu poussé, écumage de lentilles et flottantes, au coup de lame de rasoir et de perlon sur les vitres, et à un changement d'eau un peu plus important. C'est plus par souci esthétique qu'autre chose. Sinon j'utilise mon nez et mes yeux : si l'eau d'un bac sent un tout petit peu, gros changement d'eau immédiat.
Dedans_sous_le_toit (hard low-tech, pour reprendre mon expression brevetée !) : en règle générale, je me contente de combler l'évaporation tous les jours. D'enlever les plantes qui poussent trop. Les cagouilles en surnombre. Le week-end, je regarde ça d'un peu plus près, et si je trouve que c'est nécessaire, je fais un changement d'eau de-ci, de-là. Toujours en arrosant les plantes vertes avec. Et si ça me prend - comme tout à l'heure - et que j'ai envie de mettre tout le monde en habits du dimanche, je passe deux heures à faire des changements d'eau partout, à siphonner un peu de crapapouêt, à nettoyer les vitres au perlon, bref, je me fais plaisir et j'oublie le reste du monde pendant une paire d'heures !
Voilà, au suivant !